La street-food romaine, une tuerie à savourer avec les doigts
A Rome, dès que le soleil pointe le bout de son nez, les terrasses fleurissent et les Romains mangent où bon leur semble. La vie s’apprécie mieux à l’extérieur et la street food s’érige en véritable art de vie. Pizzas al taglio, suppli, trapizzino, porchetta, la cuisine de rue romaine est au moins aussi délicieuse que sa gastronomie. Andiamo ! On vous emmène dans les petites rues de la ville à la découverte de ces mets divins à manger sur le pouce.
La pizza al taglio, l’incontournable
Véritable institution romaine de la street-food depuis les années 50, la pizza al taglio se trouve majoritairement chez les boulangers. Opposée à la pizza napolitaine, la pizza al taglio est proposée à la vente sous la forme de parts rectangulaires découpées à la demande. Son secret ? Une pâte aérienne et croustillante qui ne demande qu’à être dévorée. Et oubliez les manières…elle se mange impérativement avec les doigts !
Le trapizzino, le plus trendy
Si vous voulez frimer, c’est LA street-food à la mode. Imaginez le croisement divin entre une sorte de kebab et une pizza…soit deux tranches de fougasse, cuites au four et garnies de ce que la mamma a fait de meilleur. Oui, on vous voit baver derrière votre écran.
Les suppli, les moins romains
Vous connaissez les arancini siciliennes, ces délicieuses boulettes frites, farcies au ragout de viande et au riz ? Et bien, les suppli sont à peu près identiques si ce n’est que leur forme ressemble plutôt à nos croquettes de pomme de terre. Alors arancini ou suppli, nord vs sud, who cares ? Ce qui compte c’est l’orgasme atteint en une bouchée seulement !
La porchetta di Ariccia, la plus carnivore friendly
L’idée de manger végétarien vous file des boutons ? Pas de panique ! Impossible de résister à ce petit cochon de lait juteux qui se savoure simplement en sandwich. Pas de mayo. Pas de Ketchup. Pas de salade. Juste une tranche (ou deux) de porchetta, du pain et vous.
Allez, il est temps de réserver votre billet pour Rome ou plus simple encore, de passer la porte d’un restaurant Mamma Roma pour goûter au moins un de ces délices.
